Chronique manga Satan 666 T10

Le tournoi n’attend pas et on reprend déjà là où  Seishi Kishimoto venait de nous laisser. Satan 666 T10 (Kurokawa), traduit par Pierre Giner, étant à l’orée d’un nouveau combat et même plusieurs.

Satan 666 T10

La « momonstre » comme on appelle affectueusement Python, semble prêt à assassiner tout le monde et pas juste ses opposant.e.s. Voire à les avaler ou plus exactement les faire engloutir. Chaque baston étant l’occasion de découvrir les surprises et folies se cachant derrière les O-Parts et les O.P.T. ! Parfois même en ne sachant qui est qui/quoi. Ce dont on se rendra d’autant plus compte avec la bagarre qui suivra celle-ci.

En attendant, on se doute que l’aspect de la jeune fille, Yuria, l’affrontant, est à l’inverse de ce qu’elle dissimule. Et sans vous dévoiler les surprises, on suggèrera juste que comme bien des personnes dans ce manga, c’est d’une horrifiante vérité que découle sa force et son secret. Cependant, libre à chacun.e d’en tirer ce qu’elle/il veut. Et servir des intérêt différents, lutter davantage pour le mal ou à peu près le bien… Avec pourtant des destins similaires, qui s’entrecroisent, pour finalement dévier vers des routes diamétralement distinctes.

Ce qu’on constatera jusqu’au bout de cet épisode, avec Jin en scène, face à l’espion non moins émotionnel de Zenom. D’ailleurs, l’ami/ennemi de Jio et Shuri, adorent blablater sur leurs malheurs semblables mais digérés différemment, tout en se mettant sur la poire ! Tandis qu’au fil de ces affrontements, la recherche des Cabales perdure et en révèle de manière directe au sein de la compétition.

Conclusion

L’émotion familiale et amicale continue à s’opposer à la monstruosité ambiante au cours de Satan 666 T10. Et même à s’y mélanger, par de dramatiques évènements, dont découleront des choix radicaux.