Chronique manga Satan 666 T14

Gros voyage dans le temps par l’intermédiaire de Satan 666 T14 (Kurokawa) ! Seishi Kishimoto, traduit par Pierre Giner, va ainsi nous projeter vers un segment complètement rafraîchi de la série.

Satan 666 T14

Avant ce bond dans le futur, nous suivrons le parallèle entre la bataille de Cross et Jio, ou plutôt Satan, et la dimension intérieure entre l’esprit de Jio et celui de Ruby. Sans trop vous en dévoiler sur cette première partie, sachez que Ruby s’en retrouvera inanimée, bien qu’en vie. Quatre ans plus tard, nous découvrons un groupe nouvellement formé. Quelques surprises y figurent, mais on ne vous cachera que Cross en fait partie. Car même si Satan reste son ennemi juré, il désire secourir la jeune fille, apparemment retenue prisonnière en sommeil artificiel au Quartier Général de Stea.

Alors que la bande se dirige vers cet objectif, plus ou moins affamée, le hasard d’une quête de nourriture fera tomber Ball sur Jio ! Les 2 jeunes ayant bien grandi depuis. Arriveront-ils à se reconnaître ? L’humour de la franchise profitera de ces retrouvailles pour encore faire tomber de haut le premier des deux. Cependant, Jio n’est lui seul. Vivant désormais aux côtés des Cyclops. Peuple légendaire, permettant d’en découvrir davantage sur l’origine du monde et des O-Parts. Néanmoins, menacé par Zenom à la recherche de l’O-Part légendaire se trouvant ici, le village sera rapidement assailli. Le bon moyen de découvrir les progrès des 2 amis et de leur arme.

Durant tout ce temps, l’attachement a toutefois eu lieu entre notre héros et cette population qu’il protège. Particulièrement une autre adolescente, Mei. Une suppléante de Ruby ? Son tempétueux caractère risque de rendre difficile le potentiel départ du garçon vers ses objectifs de grande envergue. Et celui désormais de libérer son amie !

Conclusion

Avance rapide après un énorme combat à plusieurs échelles, Satan 666 T14 arrive pourtant sans aucun problème à nous faire prendre le train en route. Avec une dimension amitié chère à la saga, s’entrecroisant ici, quitte à faire des étincelles !