Cette version améliorée de l’enrobage de la saga d’Atsushi Ohkubo, se prolonge avec Soul Eater Perfect Edition T6 (Kurokawa), traduit par Fabien Vautrin. Un manga loin d’un intérêt désertique pour l’instant.
Malgré le réveil d’Asura le grand dévoreur, chez la clique de ce que l’on appellera les grand.e.s méchant.e.s, tout ne se déroule néanmoins de manière limpide. Chacun.e ayant ses objectifs et même ses rancœurs. On en relèvera quelques indices à travers l’introduction du manga. Nous laissant pénétrer dans l’antre des ennemi.e.s de l’académie, en suivant Médusa. Assurément pas la bienvenue pour tout le monde !
Durant ce temps-là, nos héroïnes et héros partent toujours dans des délires faisant le charme de cette franchise. Notamment au niveau d’une éventuelle relation de couple. Mais en même temps, il s’agit de se concentrer sur la défense face au camp adverse, ayant pris une longueur d’avance.
Toutefois pas en s’y lançant banalement ! Car après une escale dans le désert à la poursuite d’un artefact, notre usuelle escouade aura ainsi fort à faire à l’entraînement. Surtout avec un tel professorat, afin de posséder le niveau nécessaire.
Ce dont elle aura besoin pour pénétrer Arachnophobia ! Tandis que parallèlement, on découvrira une bande très différente foncer vers le champ magnétique. Un virage important, puisqu’on y retrouve un approfondissement de la palette de protagonistes. De quoi déjà s’y attacher, selon leurs styles décapants.
Conclusion
L’ouverture vers davantage de membres de Shibusen, rend encore plus explosif Soul Eater Perfect Edition T6. On compte vite apprendre quelle importance ces personnages prendront.