Chronique roman Chair de Poule – La maison des morts

Pas revenue d’outre-tombe, tant elle a traversé les époques, la saga de R.L. Stine se relève en grande forme avec sa nouvelle édition chez Bayard. Loin de l’état des personnes sur la couverture signée Oriol Vidal de Chair de Poule – La Maison des morts, traduit par Marie-Hélène Delval.

Chair de Poule - La maison des morts

Nouveau départ dans la vie des préadolescent.e.s Anna et Jimmy ! En compagnie de leurs parents, iels viennent d’hériter d’une demeure par un inconnu grand-oncle. Malgré le drame derrière, non ressenti par la famille ne le connaissant absolument pas, voici là une aubaine.

Une gigantesque maison ne coûtant rien et leur précédente à vendre, signifiant bientôt un apport financier non négligeable. Tout n’est cependant qu’argent dans la vie. Surtout pour les enfants, ne voulant quitter leur vie. Ainsi que pour le chien Pat, patrouillant dans le coin avec grande suspicion.

D’ailleurs, il n’apprécie vraiment pas l’agent immobilier leur présentant la lugubre baraque. Et fuit même rapidement vers le cimetière, où il se trouve particulièrement agité. On sait que les animaux, hormis les humain.e.s, repèrent bien des phénomènes grâce à leurs sens plus développés. Aurait-il flairé quelque chose ?

En tout cas, Anna elle semble aussi voir des choses, des enfants l’observant, chuchotant chez elle… Tout du moins selon ses dires, mais personne ne l’a croit bien entendu. Même si les jeunes que son frère et elle rencontreront bientôt, n’inspirent que moyennement confiance. Et il faut avouer que vivre dans une ville nommée Tombstone, cela laisse planer des interrogations…

Sans vous dévoiler la suite, on peut préciser que l’on aura à des courses-poursuites. Emplies de doutes sur la confiance que l’on peut accorder ou non, à de nouvelles connaissances.

Conclusion

Prenant tant pour connaître la vérité derrière cette cité, que savoir si la famille se fera attraper, Chair de Poule – La maison des morts a de quoi réveiller les zombies !