Chronique roman The last one to die

Thriller flirtant avec le surnaturel, The last one to die (Slalom) de Cynthia Murphy, traduit par Timothée Roblin, tombe déjà le rideau théâtral d’Halloween, pour vous faire trembler.

The last one to die

Malgré ses seulement 17 ans, Niamh a su travailler assez et convaincre ses parents, pour quitter le temps d’un été sa bourgade en Irlande. Avec à la place du boulot à la ferme, des cours au sein d’une réputée école d’art dramatique à Londres. Avant de les démarrer, elle se retrouve dans l’immeuble où elle séjournera, en y rencontrant immédiatement Sara. Une pétillante jeune fille, loin du caractère plus réservée de notre héroïne, mais pas moins sympathique. Toutefois après avoir échangé quelques mots et un certain élément-clé, cela tournera rapidement au cauchemar.

Et à vrai dire, mieux vaut ne pas approcher notre principal personnage. Car au fil de ses rencontres, les jeunes femmes le faisant, ont tendance à rapidement être agressées par on ne sait qui ou quoi. Même si le mode opératoire physique semble clair et vous le découvrirez dès l’introduction.

Progressivement, Niamh jonglera entre ses cours, un boulot théâtral qui ne semble pas si innocent, ses relations avec autrui dont le charmeur Tommy et l’aussi curieuse que drôle Jess… Et ces crimes paraissant lui tourner autour. Sauf qu’au lieu de fuir, elle a plutôt tendance à chercher les ennuis. Mal lui en prendra ?

Conclusion

Très emballant par son escalade de mystères non prévisibles, The last one to die nous accroche par ses griffes acérées et on ne le lâche avant la fin.