Critique du manga Silver Wolf – Blood, Bone T12

L’histoire de Tatsukazu Konda, traduite par Margot Maillac, mise en dessin par Shimeji Yukiyama, reprend le terrible combat là où l’on avait laissé. Mais les vampires et l’humanité ne vont pas très longtemps continuer à s’opposer au cours de Silver Wolf – Blood, Bone T12 (Kurokawa).

Silver Wolf - Blood, Bone T12

Néanmoins, ces 2 genres ne s’avèrent pas les seuls à agir. Un autre, désormais n’officiant plus vraiment dans l’ombre, risque de s’attirer les foudres des 2 camps. D’ici là Ayevis, envoyé par cette tierce partie, s’occupe de Faust et compte sûrement continuer avec tout le monde, y compris Hans. Bien entendu on ne vous en révèlera pas davantage sur ces affrontements. Retenez juste que des révélations s’y feront pour des moments dramatiques. Mais que vous aurez également droit à quelques pages de batailles cinglantes et sanglantes.

Du résultat en découlera tout de même une constatation. Afin de vaincre cette menace plus forte que jamais et désirant s’en prendre à quiconque, les humain(e)s et les vampires devront s’associer. Au-delà des particularités de cette alliance lors des bastons et des préparatifs qui les englobent, l’accent se situe davantage sur leurs liens. Car cette nouvelle donne influe sur les relations entre ces toujours rivales/aux, qui respectent toutefois une entente cordiale. Insufflant beaucoup de sentiments profonds, mais également d’humour. Et une nouvelle arrivée dans ce clan de fortune, commencera à bouleverser les choses. Cela continuera-t-il ?

Conclusion

Cette fusion entre équipes se haïssant globalement, offre à Silver Wolf – Blood, Bone T12 une approche nouvelle. Où les sentiments évoluent entre les membres désormais mêlé(e)s, poussant aux questionnements personnels. Sûrement de quoi changer la route les menant vers de plus grands dangers.