Critique de Gigantosaurus – Coloriages écailles

Retournons voir les dinosaures du dessin animé que vous savez, puisque suite aux cartes à gratter, nous nous penchons cette fois sur Gigantosaurus – Coloriages écailles. Permettant d’à nouveau les retrouver sous diverses visuels, mais d’une autre manière.

Gigantosaurus - Coloriages écailles

Lors de la précédente pochette évoquée, l’on découvrait les animaux et les décors, en grattant le noir. Laissant place à des illustrations hyper colorées. C’est par conséquent par le biais inverse que l’on révèlera ces nouveaux tableaux. Maintenant, ceux-ci sont blancs et n’attendent que nous pour y apposer des coloris, comme bon nous semble. Toutefois, l’on dispose de contours vernis en relief, pour compléter chaque élément en leur sein. Une approche particulièrement pratique, qui évite tout dépassement. Sauf si vous décidez de volontairement les franchir évidemment. Autrement, ces rebords bloquent et permettent de ne pas se rater.

Au-delà de l’aspect utile, l’on apprécie grandement cette spécificité par le style qu’elle délivre à nos œuvres. Voir ressortir les parties du corps des dinosaures, cela en jette littéralement. Sans omettre les détails décoratifs en fond, qui offrent un environnement assez fourni. De quoi rivaliser avec les tableaux du pack à gratter. Toutefois ici, le Gigantosaurus, Bill, Mazu, Rocky et Tiny, se partageront 8 images et non 10.

Conclusion

Si retrouver des personnages que l’on adore, assure déjà un certain divertissement, Gigantosaurus – Coloriages écailles franchit un cap par rapport à la version classique d’une telle pratique. Ses contours aident pour éviter de baver certes, mais ils décuplent au moins l’intérêt graphique après coup. Même quand tout le reste est blanc d’ailleurs, tant cette 3D capte l’attention.