Nouvelle adaptation en manga de la licence de Fuse, toujours avec Mitz Vah au design des protagonistes, Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T1 (Kurokawa) de Tae Tono, sur une traduction de Ryoko Akiyama, nous entraîne dans une vision différente et supplémentaire de son monde.
Pour l’instant, on connaissait bien Flamea la femme-lapin, ayant fui son pays et découvrant, tout en faisant connaître aux touristes, Tempest. Cette nouvelle série elle voit 3 personnages venir d’autant de lieux, avec des raisons plus ou moins différentes.
Nous voyons d’ailleurs directement en introduction, la principale membre de ce premier tome. Phos la lycanthrope, missionnée par le seigneur Callion d’Eurasanie. Son alliance avec Tempest, méritant de jeter un regard discret au sein même de celui-ci. Quitte à y remarquer à quel point toutes les castes vivent en harmonie. Là où l’Euranasie instaure des règles très malaisantes, où l’esclavage est légion.
Son périple lui fera autant apprendre à quel point la nourriture y est succulente, qu’elle lui démontrera une autre facette du monde du travail. Bien moins forcé que chez elle. Une aventure lui permettant vite de rencontrer Limule, mais elle ne sera pas la seule dans ce cas.
Stella, une véritable fan de Millim, déboulant elle de manière fortement moins calme. Désirant suivre les traces de son héroïne de boss, elle cherche à faire tout comme elle, lors de son passage dans la cité. Néanmoins son caractère aura besoin d’être tempéré.
Idem concernant Nemu, envoyée par Frey de Frubrosie. Ayant un drôle de but et un caractère complètement craqué. Mais ces deux-là ne possèdent pas forcément un mauvais fond. À ceci près que leurs nombreuses incartades, devront être contenues par Phos. Devenue rapidement une personne responsable dans la ville.
Conclusion
Du délire en pagaille et des ressentis très distincts par cette triplette, croisant des vedettes de la saga, rend Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T1 très attachant.