Chronique comics Skulls and Bones – Savage Storm

Pour patienter avant « enfin » l’amarrage du jeu vidéo d’Ubisoft, Black River nous propose d’en découvrir l’univers maritime à travers une bande dessinée. Partons donc à l’abordage de Skulls and Bones – Savage Storm, de John Jackson Miller (auteur), James Mishler (auteur), Christian Rosado (dessinateur) et Roshan Kurichiyanil, traduite par Anaïs Papillon et avec Christophe Semal au lettrage et à l’adaptation graphique.

Skulls and Bones - Savage Storm

Le navire marchand à bord duquel on découvrira la novice devant vite apprendre, Maria, connaîtra l’un des pires et à la fois habituels affres milieu. Non pas une météo le mettant en difficulté. Mais tout bonnement des pirates, et non des moindres, lançant l’assaut pour en récolter la cargaison. Qui s’avèrera même bien plus précieuse, que l’équipage offensif aurait pu songer.

Cependant la mer, elle prend souvent l’homme. Et les 2 embarcations échouerontt auprès d’une île, renfermant peut-être bien des mystères. La femme elle, la fameuse Maria, a également été portée jusque-là. Au même titre que le reste des équipages, se disputant le trésor marchand.

Enfin à ceci près que ce duel, se transformera par la rencontre de la jeune avec une amirale. Elle et sa troupe de pirates, accentuent la menace ambiante. Et les doutes en notre héroïne pour s’en sortir, tout en évitant un bain de sang, renforcent l’identité sensible et dramatique du comics.

Toutefois, il y a pire. Atroce étant l’arrivée de la Némésis de l’amirale évoquée. Un loup de mer travaillant pour les autorités néerlandaises, à sa façon. La grande question est désormais de savoir si les alliances s’avéreront envisageables. Ou si les trahisons et plans B, ne feront pas couler tout le monde.

L’ouvrage se termine sur une galerie hissant les couvertures, signées Puis Bak.

Conclusion

L’action prédominante de Skulls and Bones – Savage Storm, laisse tout de même souffler une brise d’humanité, par le biais des pensées et réactions de Maria. Offrant tout autant de suspense à l’histoire.