Chronique bande dessinée Les Gendarmes T17 Silence, ça tourne !

Grand retour sur le devant de la scène, voire de l’écran, de l’une des franchises (gyro)phares de Bamboo Édition, avec Les Gendarmes T17 Silence, ça tourne ! de Christophe Cazenove et Olivier Sulpice, dessinée par Jenfèvre et coloré par David Lunven.

Les Gendarmes T17 Silence, ça tourne !

Ce volume se consacre durant sa première partie, à la venue au sein de la brigade d’une vedette du cinéma : Clovis Corbillac ! Ce dernier use de la méthode actors studio pour ses rôles. N’hésitant à s’impliquer en amont, afin de rendre son jeu plus crédible. Et comme il s’apprête à incarner un gendarme, quoi de mieux que cette fameuse équipe pour s’inspirer ? Il aura ainsi l’occasion de les voir à l’œuvre au bureau, en perquisition visite chez des personnes malintentionnées… Ou encore apprendra de leurs techniques. Tant pour flairer une piste, que leurs méthodes plus ou moins récentes, dont les nouvelles technologies comme l’ADN pour obtenir des aveux. Toujours à la sauce gaguesque de la saga.

Notamment avec leurs problèmes, tant pour arrêter quelqu’un, que les coupes budgétaires. Mais l’acteur, d’ailleurs débrouillard toujours motivé, et l’équipe du film, sont plutôt sympathiques et n’hésiteront pas à aider. Même si parfois, évidemment, le résultat tournera moyennement pour les forces du désordre que sont JP et les autres. Les collègues auront même l’occasion de se rendre sur le tournage en studio et y feront un bout d’essai.

Suite à cette expérience, retour au train-train quotidien. Toutefois, pas toujours facile de surveiller quelqu’un en garde-à-vue alors qu’il y a du football à la télévision. Et le bout de l’enquête pour rattraper un voleur, ne leur est jamais servie sur un plateau !

Conclusion

Retour en fanfare avec Les Gendarmes T17 Silence, ça tourne !, la série s’avère toujours aussi drôle et arrive à aller chercher au sein d’autres univers pour varier les gags.