La collection Similo continue de s’étendre, avec sa particularité de pouvoir fusionner le contenu de ses coffrets. Similo – Le Seigneur des Anneaux (Horrible Guild/Gigamic) d’Hjalmar Hach, Pierluca Zizzi et Martino Chiacchiera, aux illustrations de Xavier “Naïade” Durin, venant lui apporter un potentiel précieux supplémentaire.
On ne change pas une formule qui gagne, en passant cette série à la sauce The Lord of the Rings. Une narratrice ou un narrateur, ne pouvant parler ou guider par des gestes, placera aléatoirement une grille de 4×3 personnages. Au sein de laquelle se trouvera celui qu’iel avait tiré préalablement. Devenant la cible à trouver pour l’autre ou les autres joueuses et joueurs coopérant.
Pour ce faire, le reste des cartes formant la pioche, servira à confier des indices. Cependant sans que sa/son/ses équipière(s)/Ier(s), ne sache(nt) qu’elle s’en avère l’idée. Au fur et à mesure des tours, la personne en charge placera une de ses 5 cartes (une nouvelle à prendre après chaque phase de jeu) en main, autour du rectangle.
Celle-ci ayant au moins un point commun avec une ou plusieurs cartes à éliminer. Encore faut-il deviner la pensée de sa/son partenaire muet.te. Peut-être souhaite-t-iel évoquer une relation entre les protagonistes, leur camp, un fond coloré semblable… ? Et ce sur un quintet de séquences. Progressivement, on en expulsera 1, 2, 3, 4 et enfin 1 à l’ultime tour, puisqu’il n’en reste que deux. Toutefois ça, c’est uniquement si l’on n’a pas perdu avant.
Il est également possible de jouer à la variante, en disposant des cartes avec point commun horizontalement. Et avec une différence, par rapport à celle(s) à éjecter, verticalement. En outre, il est envisageable de mêler cette édition, à une autre boîte, par exemple Similo Harry Potter. L’un des paquets servant pour la grille et le second, pour les indications.
Donnant l’occasion de doublement profiter du style super déformé, plutôt mignon, des dessins de Xavier “Naïade” Durin.
Conclusion
Les rouages coopératifs de cette gamme ne s’épuisent jamais ! Qui plus est, Similo – Le Seigneur des Anneaux s’avère très bon à part, mais cette ouverture à l’association avec les autres versions, les valorise encore plus.