Chronique livres Mon premier imagier – Le jardin et Mon premier imagier – Le pot

Nul besoin de préciser, et pourtant on ne va se gêner, que Gründ a de quoi nous motiver à apprendre à bébé les mots via les dessins de Marie Paruit. Vous l’aurez constatez, les 2 nouvelles sorties concernent un duo de nos thématiques favorites, avec Mon premier imagier – Le jardin et Mon premier imagier – Le pot !

Mon premier imagier - Le jardin

Deux livres d’éveil adaptés dès 6 mois, venant séparément. Néanmoins l’arrivée simultanée et l’approche évidemment sensiblement identique, se prête particulièrement à une double chronique. Tout d’abord, Mon premier imagier – Le jardin nous entraînera dans un milieu qu’on adore comme nous le suggérions. Et il est ô combien essentiel de vite apprendre aux plus jeunes cet environnement, afin qu’elles et ils le protègent.

On découvrira certain.e.s animaux le peuplant. Ainsi que les plantes, le potager ou encore divers ustensiles. Avec des images particulièrement mignonnes. On relèvera notamment la bande de fourmis très souriantes, en train de s’organiser. Et aussi des coloris réalistes. Ce qu’on adore pour un premier imagier. Facile ensuite de reconnaître une mésange dans la réalité.

Une illustration par page, toujours avec écrit ce qu’elle représente. Même si les bambin.e.s ne liront peut-être pas encore, car dès 6 mois ne signifie pas qu’il est caduc après, le texte évitera des erreurs de proposition. Surtout si différentes personnes leur lisent. Attention à ce propos, la balançoire est occupée par un.e chat.te. Ce qui s’avère piégeur, donc surveillez à ce que les enfants n’appellent les minettes et minous « balançoire ».

Mon premier imagier - Le pot

Concernant  Mon premier imagier – Le pot, certaines actions sont proposées en parallèle aux accessoires. Évidemment, à mi-parcours de la première année, on imagine difficilement que la marmaille demandera le pot, précisera le pipi ou caca grâce aux illustrations signalant les différences d’envies…

Néanmoins, il s’agit d’une bonne première appréhension de l’objet. S’y habituer déjà par ce biais, apprendre progressivement les mots… Et n’avoir peur de ce passage à l’acte, songer à prévenir… Pour que tout coule au mieux le moment venu. Tout en connaissant les règles d’hygiène de l’après. Enfin, pour rebondir sur les félin.e.s, l’ouvrage montrera également sa litière, afin de ne pas confondre notamment. Même si, entre nous, ce serait rigolo.

On soulignera qu’une page finale de conseils, délivrera des idées pour employer chacun des bouquins. Y compris avec l’avancée en âge.

Conclusion

Mon premier imagier – Le jardin et Mon premier imagier – Le pot ouvriront certes davantage au langage. Mais on y distingue en outre déjà l’envie de sensibiliser à des sujets importants, plutôt que d’attendre.