Chronique manga Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T2

Continuons la balade touristique dans le monde créé par Fuse, en élargissant aussi la connaissance des personnages designés par Mitz Vah, avec Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T2 (Kurokawa) de Shô Akusho, traduit par Jasmine Bretcha. Un nouveau tome ayant encore énormément d’attractions à mettre en avant.Moi, quand je me réincarne en slime - Comment vivre chez les monstres T2

Il en est une d’ailleurs un peu dangereuse : le labyrinthe ! Davantage encore que le donjon exploré lors du précédent tome, duquel on ressuscitait en cas de malheur. Une bonne occasion pour y croiser des personnages nous rappelant des moments d’émotion de la série principale. Mais avant que Flamea ne doive s’y engouffrer, le guide touristique sur lequel elle travaille gagnera en intérêt. Jusque-là, seuls des mots, des descriptions s’y retrouvaient. Sauf que tout le monde n’est pas capable de lire ou alors si, mais pas cette langue.

Une idée germe alors, y inclure des images ! Limule invente en cette optique un révolutionnaire appareil dans le manga : un appareil photographique ! Forcément, l’excitation est palpable chez à peu près quiconque. On a forcément envie d’essayer, d’autant plus si on peut être photographié.e aux côtés du roi-démon. Une séance photo insufflera ainsi beaucoup d’humour. Tant son entourage veut parvenir à ses fins, alors qu’il ne reste plus que de quoi réaliser un seul cliché. Comment cela tournera-t-il ?

Et à propos de tourner, on se demande en outre comment se terminera l’exploration au sein du labyrinthe aux côtés de jeunes personnages bien particuliers. Qui parleront évidemment plus à quiconque connait déjà la saga.

Conclusion

Bien que les liens entre ce dérivé et l’histoire originelle se retrouvent par des clins d’œil, Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T2 réussit à amuser même les néophytes. Le ton et les gags restent suffisamment ouverts, pour rassembler les divers publics.