Chronique manga Moi, quand je me réincarne en Slime T21

Les épisodes de l’adaptation en manga par Taiki Kawakami, de l’œuvre originelle de Fuse, aux personnages de Mitz Vah, traduits par Erica Moriya, coulent tel du slime. De quoi régler au plus vite avec Moi, quand je me réincarne en Slime T21 (Kurokawa) les précédents quiproquos ?

Moi, quand je me réincarne en Slime T21

Le titanesque affrontement entre Hinata et Limule se poursuit, avec d’incessants soubresauts et les fameux clins d’œil à l’univers des jeux de rôle. Dont des améliorations en direct, ouvrant à de nouvelles compétences fortement utiles pour pallier à un manque. Un aspect RPG toujours très appréciable. D’autant plus que dans cette situation délicate, il est même amené avec de l’humour.

Aux environs, la bataille de masse se poursuit également, toujours dans l’éventuelle expectative d’un changement de directives. Idem concernant les généraux de la jeune femme et des démon.e.s du roi-démon. Dont le suspense fonctionne plutôt bien, au travers du fait de se demander si certaines bastons n’iront pas un chouïa trop loin, pour revenir en arrière. Même si les 2 camps arrivaient enfin à s’expliquer, à propos de la machination derrière.

En parlant de machination, celle du crime dont est accusé Diablo, commence sérieusement à l’agacer. Avec une question que tout le monde se pose, sur son réel statut de daemon. Tandis que l’on se demandera si à force de l’invectiver sur place, où il est venu affirmer son innocence, cela ne risque pas de le faire dégoupiller. Les mystères vont toutefois peut-être en partie lever leur voile, à l’arrivée des énigmatiques Septenniens.

Conclusion

Les entourloupes sont courantes chez cette licence et Moi, quand je me réincarne en Slime T21 en fait éclater plusieurs, derrière lesquelles se dissimulait une commune menace. Avec quel réel but ?