Chronique roman Chair de Poule – La malédiction de la momie

Nouvelle édition de la mythique saga de R.L Stine chez Bayard ! Excitation pleine de frissons à l’approche de ces ouvrages, tout en espérant qu’ils fonctionnent toujours aussi bien qu’à l’époque de leur écriture. On s’en va le vérifier tout d’abord avec Chair de Poule – La malédiction de la momie, sur une traduction de Jean-Baptiste Médina et à la couverture d’Oriol Vidal.

La malédiction de la momie

Gabriel a beaucoup de chance par le biais du travail de ses parents, puisqu’il lui permet de fréquemment voyager. En l’occurrence cette fois en Égypte, pays cher aux origines du jeune français. Le tourisme avec sa mère et son père ne le passionne pas nécessairement, mais il aura la chance d’avoir l’opportunité de visiter une pyramide de l’intérieur.

Son oncle archéologue reconnu, devant s’occuper de lui, alors qu’il est au cœur d’une potentielle faramineuse découverte. Qu’à cela ne tienne, il l’embarque ainsi dans son expédition, en compagnie de sa propre fille Sari. Malheureusement pour lui, notre jeune héros devrait songer à enfiler des chaussures à scratchs, car il a la fâcheuse tendance à devoir s’occuper de ses lacets. Et c’est souvent là que lui arrivent des bricoles.

Sûrement peu doué avec, il aura bientôt davantage de succès avec les bandelettes ! Cependant, elles ne débouleront pas de façon trop simple. L’auteur sait manier le suspense, mais nous n’en dirons rien à ce sujet, pour ne pas dévoiler ses multiples feintes. Hormis le fait qu’elles fonctionnent à en réveiller des pharaons !

Toutefois le mystère derrière ces créatures mortes-vivantes, cachera une horreur au-delà du danger. La malédiction de la prêtresse Khala, se poursuivant jusqu’à aujourd’hui encore, via un disciple prêt à tout. Y compris face à des enfants !

Conclusion

L’amusement et la frayeur marchent comme à la première heure avec Chair de Poule – La malédiction de la momie. À en donner envie d’enfin sortir de son sarcophage, juste pour le lire.