Critique du manga Secret Innocent World T2

Les passions cachées, menant au bonheur, sont ressorties du premier numéro du manga de Shiori Hamako. Cependant son terme a tout brisé chez ses protagonistes, les faisant démarrer en-dessous de 0 ce Secret innocent world T2 (Kurokawa).

Secret innocent world T2

Un rêve idyllique froissé, à cause de l’ex-femme de Kazami. Ce dernier qui dissimulait ainsi un autre secret à Ritsu. Menacée par cette femme avec qui elle n’a rien en commun au niveau du caractère, la jeune cosplayeuse quittera l’appartement, non sans tristesse. Mais ce n’est pas que cette trouble relation qui s’arrêtera. Les paroles, les photographies, sa réputation… La jeune employée décide par la même occasion de stopper le cosplay.

Heureusement, elle peut compter sur ses 2 camarades, avec qui elle forme le groupe de Lilika pour des conventions. Toutefois, une révélation durant le précédent tome, risque de rendre la situation compliquée. On préfère ne rien dire à ce propos, hormis que désormais le triangle amoureux change sa pointe. L’ancienne épouse du principal personnage masculin paraît n’avoir véritablement aucune chance. Mais quelqu’un d’autre vient tenter de prendre sa place dans le trio. Du côté de Ritsu cette fois. Qui pourrait en plus songer qu’elle pourrait vivre ce couple en étant elle-même. Et non un personnage d’anime.

Les thèmes intimes et l’humour se contrebalancent et trouvent un équilibre très fort. Avec même chaque côté qui s’accentue, lors de la séquence avec les parents de l’héroïne. Le dramatique avec sa mère et le tordant avec son père.

Conclusion

Drôle, sensible et soulevant la thématique du jardin secret au sein duquel l’on se réfugie, y compris brièvement chez les personnages secondaires, Secret innocent world T2 montre quelque chose rarement abordé dans les œuvres culturelles. Sûrement car la plupart des autrices/eurs, ont peur d’évoquer une sensibilité, qu’elles/eux-même ne dévoileraient pas.