Critique du roman Le Porteur de lumière T6 Le Blanc incandescent – Seconde partie

La saga de Brent Weeks touche à son terme, avec Le Porteur de lumière T6 Le Blanc incandescent – Seconde partie. Ultime épisode traduit par Olivier Debernard, arrivant en force chez Bragelonne.

Le Porteur de lumière T6 Le Blanc incandescent - Seconde partie

Et oui en force, un terme qui colle plutôt bien à la fin de cette licence. Ce qui d’ailleurs, en plus de toutes les révélations à éviter ne serait-ce qu’avant votre lecture de cet épisode, nous fera devenir encore plus retenu quant à ce que l’on pourra bien vous en confier. Mais comme l’on compte également les « retardataires », avec plusieurs, voire tous les précédents numéros non lus pour l’instant, il s’agira de rester vague. Cependant, c’est surtout la forme que prendra ce roman, qui fait que l’on ne pourra trop vous en dire. Simplement car ce dernier s’inscrit moins dans l’aventure, les dialogues au travers des pérégrinations des personnages, leurs doutes et les fourberies.

Attention, tout ceci s’avère bel et bien présent, mais essentiellement sur une première partie condensée, d’environ une centaine de pages. Perdurant les intrigues, où l’on s’aperçoit que les protagonistes ont toujours des visions diamétralement différentes sur la suite à donner. L’ensemble toujours teinté d’une prophétie au sein de laquelle d’aucun préfère risquer de se fourvoyer. Tandis que les décisions très personnelles de Guile, s’avèrent à nouveau à l’épicentre des débats. Entre ses sentiments et la bascule pour renverser l’empire, qu’il paraît être le seul capable à accomplir. Bien que dans certains esprits, on pense autrement. Sans même évoquer ses ennemis.

C’est ensuite une grandiloquente bataille de grosso-modo 500 pages qui nous attend. Voilà la raison pour laquelle il s’avère complexe de vous donner davantage de détails sur Le Porteur de lumière T6 Le Blanc incandescent – Seconde partie. L’auteur a choisi d’exécuter ces affrontements finaux sur une imposante distance, ce qui reste assez rare à ce point là. Et d’autant plus risqué. Néanmoins, le tout se trouve être pleinement dynamique. La longueur ne se fait ainsi pas sentir, tant les rebondissements nous percutent continuellement. Pourtant, l’on n’est pas vraiment des adeptes de longues oppositions. Ce qui nous fait d’autant plus souligner l’approche réussie ici. Avant de nous surprendre une fois cette phase dantesque passée.

Conclusion

Bataille royale pour conclure Le Porteur de lumière T6 Le Blanc incandescent – Seconde partie ! Et même si elle sait intéresser par son énergie, fort heureusement l’écrivain ne s’est pas arrêté là. Ne serait-ce que le terme du livre, véritable ou non, saura jouer avec les codes…