Chronique comics Power Rangers Unlimited – Power Rangers T2

Les surprises de folie continueront de débouler au sein de la série croisée de nos héroïnes et héros favori.te.s en spandex, avec Power Rangers Unlimited – Power Rangers T2 (Vestron) de Ryan Parrott (scénario), Francesco Mortarino et Simone Ragazzoni (dessin), ainsi que Raul Angulo et Igor Monti (couleurs). Avec Simona De Gianfelice, Gilbey Ibarra, Jose Enrique Fernandez et Sabrina Del Grosso en tant qu’assistant.e.s et traduit par Arnaud Gouteron, s’occupant parallèlement du lettrage, l’originel étant d’Ed Duckeshire.

Power Rangers Unlimited - Power Rangers T2

Un volume rempli d’invité.e.s de marque, dans lesquel.le.s on admire les designs de Dan Mora ! Bien entendu, on préfère ne les révéler. On vous conseille donc d’éviter les résumés, car les surprises fonctionnent ! Surtout selon votre rapport avec les PR (NDLA : le mien étant énorme depuis le lancement de la franchise, j’ai limite bondi tel Alpha-5 à chaque nouvelle arrivée mythique et particulièrement la première dans cette B.D.). Allez, on dira juste ques les féru.e.s comme nous de Melody Perkins, pourraient apprécier…

Sans donc en glisser davantage sur celles et ceux-ci, on suivra les 3 Omega Rangers et XI. En pleine tentative de secourir des populations des Empyreals, en anticipant la suite de leurs opérations. Afin de les aider, encore faut-il compter sur Drakkon. Et il n’est évident de lui faire pleinement confiance. Ses idées et informations, vont-elles dans la direction souhaitée par le quatuor l’ayant libéré ou seulement moyennement ? En servant ses propres intérêts à plus long terme ? Une nébuleuse relation, qui donnera perpétuellement lieu à des jeux de dupes. Avec néanmoins des caractères aux distinctions se creusant entre les membres. Pas impossible que le diabolique ex-ranger vert en profite, pour s’immiscer dans l’esprit de celle ou celui qui s’écarterait le plus d’une conduite « impeccable ».

Leur chemin leur fera à nouveau croiser les affres des différents univers. Voyant des horreurs ailleurs, qu’on reporte complètement à notre propre monde. Ce qui leur fera affronter aussi bien un empire, dont notre escadron désire sauver le peuple de l’autre terrible menace, elle-même combattue dans cet épisode. Ainsi que des ami.e.s / ennemi.e.s inversé.e.s, continuant de placer cette escouade de l’autre côté de la barrière chez les Power Rangers ! Des bastons toujours teintées de rigolades, avec des vannes. Une habitude de parler sur laquelle une certaine rencontre rebondira, pour nous amuser encore plus.

Au-delà des graphismes percutants, avec encore des effets et couleurs nous en mettant plein le casque, on bénéficie d’une galerie. On y découvre des œuvres de Peach Momoko, Daniele Di Nicuolo, Walter Baiamonte et Goñi Montes. En sus de la couverture de Matteo Scalera, assisté de Moreno Dinisio.

Conclusion

Tout est loin d’aller au mieux pour notre troupe dans Power Rangers Unlimited – Power Rangers T2. L’auteur n’hésite à inclure des drames, renforçant notre attachement à ce segment de la licence. Une émotion se mêlant toujours aussi bien à la drôlerie, l’action et la beauté.