Chronique manga Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T8

La cascade des récits de Shô Okagiri, à la traduction de Jasmine Bretcha, au sein du monde de Fuse, sur un chara-design de Mitz Vah, déroule aussi vite que les cocasses situations dans lesquelles se retrouve notre héroïne lapine. On imagine déjà qu’il en ira de même pour Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T8 (Kurokawa), à moins qu’elles ne deviennent cette fois démoniaques…


Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T8

Après avoir couru de part en part, y compris en part de gâteaux, pour garnir le guide de Tempest, Flamea devient elle-même guide touristique. Elle en a déjà eu plus ou moins l’occasion, mais cette mission officielle confiée par Limule, s’avère plutôt délicate.

Effectivement, elle se retrouve à devoir se dépatouiller avec 3 démones. La femme-lapin craint chaque moment avec elles, tant elles s’avèrent plutôt piquantes et savent ce qu’elles veulent. Et quand elles veulent, elles obtiennent ! Et ce au plus vite. Notre pimpante héroïne cherchant ainsi à éviter les conflits, voir éviter ces damoiselles tout court.

Si elle vivra plusieurs aventures à leurs côtés, y compris avec d’autres personnages, on la distinguera dans des moments où elle se trouvera plus à l’aise. Notamment face à son père, qu’elle n’hésite plus à secouer. Leur village en mauvaise posture, le père de la cheffe à distance n’hésite pas à prendre du bon temps à Tempest. Nous laissant voir l’autre facette du caractère de sa fille. La rendant d’autant plus appréciable.

Conclusion

Drôles et gourmandes, les péripéties de Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T8 continuent à nous faire découvrir cet univers, avec une succulente légèreté.