Chronique manga Ramen Akaneko T1

On connaît depuis longtemps les établissements nippons, où la clientèle vient passer un bon moment avec des animaux, particulièrement des chat.te.s. Mais dans Ramen Akaneko T1 (Kurokawa) d’Angyaman, traduit par Mathilde Vaillant, on franchit une étape dans le domaine.

Ramen Akaneko T1

Curieusement pas si réputé, toutefois sa direction tient à ce que cela reste ainsi pour sa quiétude, le restaurant Ramen Akaneko n’emploie que des félin.e.s. Principalement des chat.te.s, mais pas forcément uniquement. Tant que cela reste dans la grande famille des félidés.

De l’accueil, au patron, en passant par le chef cuistot, on ne trouve que de mignonnes boules de poils. Enfin chacune avec son caractère, délivrant beaucoup d’humour. Cependant, le staff décide d’effectuer un bouleversement, en recrutant une humaine : Tamako. Avouant elle-même préférer les chien.ne.s.

Forcément, ne serait-ce que par ses caractéristiques physiques, elle peut être assignée à d’autres tâches. Dans un premier temps, en s’occupant de ses collègues au sens propre du terme.

Sauf que, malgré sa gentillesse et l’impression de ne pas être du genre à s’imposer, les bonnes idées et intentions de la jeune femme, pourraient lui permettre de faire encore plus au sein du resto de nouilles. La « cochabitation » fonctionnera-t-elle ?

Conclusion

Chapistri, quel délicieux manga ! Ramen Akaneko T1 s’avère d’une drôlerie et d’une tendresse, reflétant totalement les tranches de vie qu’offrent les chat.te.s dans la réalité.