Chronique roman Tom Clancy’s The Division – Compromise

Les romans de Thomas Parrott dérivés de la franchise d’Ubisoft se multiplient. Suite de La Recrue, Tom Clancy’s The Division – Compromise (404 Éditions) nous entraîne dans une nouvelle expérience inédite, traduite par Julien Buseyne et à la couverture de Rene Aigner.

Tom Clancy's The Division - Compromise

Pour immédiatement dynamiser, avant de la dynamiter, cette nouvelle aventure, l’équipe rassemblée par Brenda, rafraîchira partiellement sa composition. Par conséquent, on suivra et approfondira nos connaissances à leur propos. Tout en découvrant bien d’autres personnalités et parcours. Particulièrement la recrue Colin, qui aura fort à faire en tant que soigneur, au sein de la Cellule de Maira. Tout en retrouvant Leo, plus une tireuse d’élite : Cha Yeong-Ja.

Le nouveau jeune homme ayant un passé et un passif, auprès du fils d’une ancienne sommité militaire. À la tête désormais d’un groupe aux méthodes militaires, antipathie comprise, du genre on tire d’abord et on discute ensuite.

D’autre part, la Renaissance est elle une force écologiste, bonne chose, aux us et coutumes similaires aux autres. Moins bonne initiative… Décidant de ruiner toute énergie fossile, après la catastrophe du Poison Vert. Laissant réfléchir sur l’impact humain, face à la nature. Leur guide les entraîne cependant vers une voie dangereuse et violente. La Division se trouvant ainsi littéralement entre ces deux feux. Avec de terribles événements, physiquement parlant suite à de gros affrontements. Et d’autres émotionnels, via l’apparition de certains symboliques ennemis.

Conclusion

Action tactique et émotion, font le système de jeu littéraire de Tom Clancy’s The Division – Compromise. Un explosif cocktail, capable de percuter les accros de la licence, jusqu’à celles et ceux ne la connaissant pas.