Critique du manga Silver Wolf – Blood, Bone T11

La violence se fait plus incisive avec l’arrivée de Silver Wolf – Blood, Bone T11 (Kurokawa). L’histoire de Tatsukazu Konda, illustrée par Shimeji Yukiyama, prendra un, voire plusieurs nouveaux tournants.

Silver Wolf - Blood, Bone T11

Les groupes opposés se retrouvent rapidement au sein de ce nouveau tome. Cependant, plutôt que de complètement partir dans un affrontement de grande ampleur, le manga s’ouvrira vers des explications. Orales, avant d’éventuellement devenir physiques. En marge de la violente intensité en place d’emblée. Toutefois la discussion s’interrompra rapidement, pour laisser place à d’autres invités. Dont les 2 formations se seraient bien passées. Néanmoins avant cela, quelques échanges auront eu lieu, mais on vous laisse le soin de les découvrir.

S’en suivront des combats dantesques, principalement des duels, mettant aux prises des personnages surpuissants. Voire avec une affiliation particulière évidemment, mais pas nécessairement. Puisque ces bastons nous permettent de découvrir des rencontres tant attendues. Avec quelques révélations qui s’effectuent au fil du temps. Notamment à propos de l’invraisemblable régénération de l’un, que vous connaissez si vous avez lu les précédents volumes.

Plus l’on avance, plus la bagarre se fait présente et délivre des dessins aussi sombres, que titanesques et puissants. En revanche, changement de ton, tant scénaristique que visuel, entre les chapitres. Via des histoires rigolotes d’une page et en conclusion du livre, une de 3. Avec des protagonistes dans un style mignon. Mention particulière à cette version d’Hans Vahpet.

Conclusion

Sanglant et sombre, Silver Wolf – Blood, Bone T11 amène la saga vers une ambiance encore plus pesante. Et les grandes oppositions n’étant pas finies, on imagine déjà le mordant de sa suite, donnant envie d’hurler à la Lune en l’attendant.