Critique du roman Sorceleur #3 : Zireael (Collector)

Vous avez récemment pu remarquer le final de la série d’Andrzej Sapkowski, en roman individuel. En parallèle, se déroule le terme de sa version collector, qui prend une autre forme comme vous le constaterez. Nous nous penchons donc cette fois sur cette édition, via Sorceleur #3 : Zireael.Sorceleur #3 : Zireael

Comme nous l’indiquions en introduction, Sorceleur #3 : Zireael se différencie des romans individuels, en grand format, dont l’on a pu traiter. En l’occurrence ici, l’on retrouve les œuvres de La Tour de l’Hirondelle et de La Dame du Lac, combinées en un livre. Bien entendu nous n’allons pas les traiter de manière poussée au sein de cet article. Étant donné que vous retrouverez nos récentes chroniques en cliquant sur les titres au sein de ce paragraphe.

Dans un premier temps, Sorceleur #3 : Zireael  nous conte l’histoire de Ciri toute proche d’épouser l’empereur de Nilfgaard. S’agit-il néanmoins de la réelle protégée de Geralt ? Les viles tractations politiques nous démontrant certaines intentions, où l’on peut se passer d’elle. Toutefois d’un autre côté, elle risque de s’avérer indispensable pour d’autres desseins. Le Sorceleur cherchera évidemment à la secourir. Tout comme dans la seconde partie de l’histoire. Mais où cette fois la jeune fille demandera de traverser bien plus que Maribor et diverses autres contrées, en vue de la sauver. Tant elle est même loin des radars habituels, depuis qu’elle a atterri dans un autre monde. Dont rêvera peut-être une certaine personne…

La Tour de l'hirondelle

Une doublette d’histoires très prenante ! Sorceleur #3 : Zireael s’avère évidemment un ouvrage poignant. Tant la facette émotive et troublante de la saga est de plus en plus prononcée, à l’amorce de son final. Si des teintes humoristiques sont bien sûr toujours présentes, elles s’effacent davantage, par rapport à la dramaturgie des situations.

En tant qu’édition collector, Sorceleur #3 : Zireael ne fait pas que réunir ces 2 grandes lectures. Tout d’abord, l’on découvre la somptueuse et solide couverture. Rigide et épaisse telle celle d’un bon gros dictionnaire. Et qui bénéficie d’une mise en abîme classieuse aussi bien pour l’illustration de face, qu’en 4e de couverture, ainsi que pour la tranche. Avec un brillant argenté renforçant le côté précieux. Auquel l’emblème ensanglanté, frappe de sa qualité. Au centre du livre, l’on retrouve également des illustrations de toute beauté, qui font assurément la différence pour se laisser tenter.

Conclusion

Dans l’éventualité où vous n’auriez pas craqué pour les 2 romans séparés, l’on ne peut que vous conseiller de vous jeter sur Sorceleur #3 : Zireael. Deux histoires perdurant la haute qualité de la franchise, auxquelles s’incluent un enrobage et des illustrations d’une grande classe. Avec un aspect aussi somptueux, qu’une praticité pour le mettre en valeur chez soi.