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Telle une citadelle, prenons d’assaut les Chroniques de la mariée de Bretagne T4 (Kurokawa), de Junji Takehara, sur une traduction de Fédoua Lamodière.
Les rebondissements sont dégainés à une cadence aussi nerveuse, qu’une arme bricolée spécifiquement, dans la série de Masashi Asaki (histoire) et Naoki Yamakawa (dessin). Une comparaison calibrée pour My Home Hero T24 (Kurokawa), traduit par Fabien Nabhan.
Mordu.e.s du manga de Tetsuya Tashiro ? Une nouvelle dose vous est assimilée en intraveineuse avec Kaijin Reijoh T12 (Kurokawa), sur une traduction de Frédéric Malet.
Il y a de quoi jalouser quiconque détient l’intégralité, jusqu’à présent, de la série d’Aka Akasaka (scénario) et Mengo Yokoyari (dessin). Néanmoins la jalousie est un vilain défaut, comme le démontrera Oshi no Ko T14 (Kurokawa), traduit par Nesrine Mezouane.
Amilis secrets, pas besoin de se le dire. Mais surtout, de ne pas le dire aux autres ! C’est bien par-là que Partners 2.0 T7 (Kurokawa) de Souryu, sur une traduction de Marie-Saskia Raynal, dévoile ses nouveaux charmes.
Quand les sentiments se mêlent au travail, rien ne se simplifie ! Les intrigues d’Aka Akasaka, dessinées par Mengo Yokoyari, n’en deviennent que plus troublantes durant Oshi no Ko T13 (Kurokawa), à la traduction de Nesrine Mezouane.
Les relations se complexifient de plus en plus, pour les personnages d’Aka Akasaka (histoire) et Mengo Yokoyari (illustration). De là à en faire tout un cinéma durant Oshi no Ko T12 (Kurokawa), traduit par Nesrine Mezouane ?
Jusqu’où certaines personnes sont prêtes à aller, afin d’accomplir leurs desseins ? Un adage qui colle à la saga d’Aka Akasaka (scénariste) et Mengo Yokoyari (dessin) ! Et plus particulièrement encore à Oshi no Ko T11 (Kurokawa), sur une traduction Continuer la lecture Chronique manga Oshi no Ko T11
L’oeuvre de Sôryû, sort un peu du sport en chambre durant Partners 2.0 T6 (Kurokawa), traduit par Marie-Saskia Raynal. Un changement vous faisant suer ?
Hikaru Nakamura livre son nouveau cadeau jetant un froid sur ses personnages, avec Père Fouettard Corporation T8 (Kurokawa), à la traduction de Sarah Provost.
Romance et revanche se font face, pendant les Chroniques de la mariée de Bretagne T3 (Kurokawa), de Junji Takehara, à la traduction de Fédoua Lamodière.
La jeunesse au cœur du sauvetage de la Terre, se dévoile durant Ultraman T20 (Kurokawa), d’Eiichi Shimizu (scénario), Tomohiro Shimoguchi (dessin) et traduit par Fabien Vautrin.
Explorant toujours plus de sujets, la collection KuroSavoir de Kurokawa détient une certaine supériorité dans ses thèmes. Le complexe d’infériorité, par Takashi Kondô, traduit par Xavière Daumarie (traduction), s’inspirant des pensées d’Alfred Adler, confirmera-t-il cette voie ?
Le thriller émotionnel de Jun Esaka (histoire) et Takahide Totsuno (dessin), continue de renverser les apparences pendant She is beautiful T4 (Kurokawa), traduit par Marie-Saskia Raynal.
Traveling avant vers l’ouvrage d’Uhei Aoki, un grand cap étant passé par Dans la peau de Miwa T4 (Kurokawa), traduit par Gaëlle Ruel.
Issu du jeu vidéo de Quantic Dream, scénarisé par David Cage, Detroit: Become Human – Tokyo Stories T1 (Kurokawa) de Kazami Sawatari (auteur) et Moto Sumida (illustrateur), traduit par Adrien Becam, nous connecte directement dans son univers d’anticipation.
Les énigmes alambiquées de Masashi Asaki, mises en image par Naoki Yamakawa, prennent un nouveau tournant avec My Home Hero T22 (Kurokawa), à la traduction de Fabien Nabhan.
La licence de Kumo Kagyu, n’approche absolument pas discrètement des étals, tant elle se présente sous diverses formes. À l’instar du dérivé de Shogo Aoki, chara-designé par laki, revenant avec Goblin Slayer Daikatana T6 (Kurokawa), à la traduction de Fabien Nabhan.
La traque de Masashi Asaki (histoire) et Naoki Yamakawa (dessin), s’intensifie durant My Home Hero T21 (Kurokawa), traduit par Fabien Nabhan.
La découverte des légendes de la saga de Kumo Kagyu, par le biais du préquel de Shogo Aoki, sur un chara-design d’laki, s’approche du 4e sous-sol avec Goblin Slayer Daikatana T4 (Kurokawa), traduit par Fabien Nabhan.