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Telle une citadelle, prenons d’assaut les Chroniques de la mariée de Bretagne T4 (Kurokawa), de Junji Takehara, sur une traduction de Fédoua Lamodière.
On se rattrape mutuellement, entre les multiples dérivés de la saga de Fuse. Place cette fois au trio infernal, avec Moi, Quand Je Me Réincarne En Slime – Trinité T7 (Kurokawa), de Tae Tono, au design des personnages par Mitz Continuer la lecture Chronique manga Moi, Quand Je Me Réincarne En Slime – Trinité T7
La nouvelle société et son opposition, seront le cœur trafiqué de Kemono Incidents T21 (Kurokawa) de Shô Aimoto, à la traduction et au lettrage de Fabien Vautrin et Maiko_O.
Les rebondissements sont dégainés à une cadence aussi nerveuse, qu’une arme bricolée spécifiquement, dans la série de Masashi Asaki (histoire) et Naoki Yamakawa (dessin). Une comparaison calibrée pour My Home Hero T24 (Kurokawa), traduit par Fabien Nabhan.
Ça va frotter sec entre équipiers, durant le tour d’En Selle Sakamichi ! T7 (Kurokawa), guidé par Wataru Watanabe et traduit par Rémi Buquet.
Le passé de la vedette de Kumo Kagyu, ici traitée par Kento Sakaeda, sur un chara-design de Noboru Kannatuki et Shingo Adachi, se poursuit en action avec Goblin Slayer Year One T12 (Kurokawa), traduit par Fabien Nabhan.
Game over pour l’adaptation par Himiko, du jeu vidéo de Yoko Taro, au scénario de Takuto Aoki et chara-design de Jino. SINoALICE T6 (Kurokawa), à la traduction de Gaëlle Ruel, compte ainsi conclure de manière explosive.
Énorme bond en avant à multiples échelles, découvert via Kemono Incidents T20 (Kurokawa). L’histoire de Shô Aimoto, traduite par Fabien Vautrin et Maiko_O, bouleversera ainsi nos acquis.
Mordu.e.s du manga de Tetsuya Tashiro ? Une nouvelle dose vous est assimilée en intraveineuse avec Kaijin Reijoh T12 (Kurokawa), sur une traduction de Frédéric Malet.
Il y a de quoi jalouser quiconque détient l’intégralité, jusqu’à présent, de la série d’Aka Akasaka (scénario) et Mengo Yokoyari (dessin). Néanmoins la jalousie est un vilain défaut, comme le démontrera Oshi no Ko T14 (Kurokawa), traduit par Nesrine Mezouane.
Amilis secrets, pas besoin de se le dire. Mais surtout, de ne pas le dire aux autres ! C’est bien par-là que Partners 2.0 T7 (Kurokawa) de Souryu, sur une traduction de Marie-Saskia Raynal, dévoile ses nouveaux charmes.
Les mensonges familiaux, rien de plus courant dans la réalité. Hiromu Arakawa apprécie depuis longtemps tourner autour de ce thème, à la sauce fantastique. Et ce n’est pas Tsugai – Daemons of the Shadow Realm T5, traduit par Fabien Vautrin Continuer la lecture Chronique manga Tsugai – Daemons of the Shadow Realm T5
Vampire ou non ? Allié.e ou pas ? D’incessantes questions faisant battre le cœur de la série de Kotoyama. Et particulièrement pendant Call of the night T12 (Kurokawa), traduit par Xavière Daumarie.
Quand les sentiments se mêlent au travail, rien ne se simplifie ! Les intrigues d’Aka Akasaka, dessinées par Mengo Yokoyari, n’en deviennent que plus troublantes durant Oshi no Ko T13 (Kurokawa), à la traduction de Nesrine Mezouane.
Les relations se complexifient de plus en plus, pour les personnages d’Aka Akasaka (histoire) et Mengo Yokoyari (illustration). De là à en faire tout un cinéma durant Oshi no Ko T12 (Kurokawa), traduit par Nesrine Mezouane ?
Jusqu’où certaines personnes sont prêtes à aller, afin d’accomplir leurs desseins ? Un adage qui colle à la saga d’Aka Akasaka (scénariste) et Mengo Yokoyari (dessin) ! Et plus particulièrement encore à Oshi no Ko T11 (Kurokawa), sur une traduction Continuer la lecture Chronique manga Oshi no Ko T11
L’oeuvre de Sôryû, sort un peu du sport en chambre durant Partners 2.0 T6 (Kurokawa), traduit par Marie-Saskia Raynal. Un changement vous faisant suer ?
Dernier volume double de la série d’Hidenori Kusaka (scénario) et Satoshi Yamamoto (dessin), Pokémon Noir et Blanc T4 (Kurokawa), à la traduction de Fabien Vautrin, nous donnera-t-il une réponse à la grande question de celle-ci ?
Atteindrez-vous l’Eden en lisant Demon Slave T14 (Kurokawa) ? Le manga d’enfer de Yôhei Takemura (manga) et Takahiro (histoire), traduit par Pierre Giner, frappant à nouveau.
Hikaru Nakamura livre son nouveau cadeau jetant un froid sur ses personnages, avec Père Fouettard Corporation T8 (Kurokawa), à la traduction de Sarah Provost.